Bol d'Air Jacquier


Bol d'air Jacquier : vos cellules manquent-elles d'oxygène ?

Une oxygénation cellulaire optimisée, simple, naturelle et sans hyperoxygénation, aucun risque radicalaire, voilà la promesse du Bol d'air Jacquier !

En se plaçant devant le Bol d'air Jacquier (à 10 cm de distance) pendant quelques minutes par jour (en une ou plusieurs fois), vous allez respirer des peroxydes terpéniques, qui sont des porteurs d'oxygène : c'est la peroxydation. Un seul et unique produit, Orésine, issue de l'agriculture biologique et exempte d'allergènes tels que le delta-3-carène, est utilisé dans cet appareil. Orésine est obtenue à partir de la résine de pin (Pinus pinaster), qui deviendra un hydrodistillat puis une huile essentielle de térébenthine chémotypée.
La respiration avec le Bol d'air Jacquier vous permettra de lutter contre l'hypoxie, c'est-à-dire un manque d'oxygène.

A l'origine de l'hypoxie
L'hypoxie a plusieurs origines... La modification des caractéristiques sanguines en est une très importante. Car, suivant la température corporelle, l'acidité (pH) des urines, du sang et de la salive, ainsi que la teneur en gaz carbonique du corps, l'hémoglobine ne délivrera que peu ou pas d'oxygène dans l'organisme, et ce, soit de façon ponctuée sur un organe (déjà faible), soit sur l'ensemble du corps. Elle trouve souvent son origine dans une accumulation de plusieurs causes (1) :
- chimique : inhalation de monoxyde de carbone, gaz carbonique, gaz sulfureux, ammoniac, chlore, monoxyde d'azote ;
- électrique : exposition à un excès de gros ions électropositifs ;
- relatives aux habitudes de vie : manque d'exercice ou excès d'exercices violents ;
- inhérente au vieillissement : tous les métabolismes se mettent au ralenti ;
- émotionnelles : difficulté de gestion des émotions, refoulement lié au facteur temps, au mode d'éducation...

Conséquences : déchets et radicaux libres
Le métabolisme ainsi altéré, le déficit d'oxygénation entraînera un ralentissement de la production d'énergie. En conséquence, les déchets mal éliminés s'accumuleront, le cerveau et le système nerveux central seront les premiers touchés car ils sont les plus gros consommateurs d'oxygène.
Les cellules généreront des radicaux libres en excès, ce qui veut dire qu'elles ne pourront plus fabriquer ni utiliser les antioxydants pour protéger leur membrane.
S'il y a excès d'oxygène, trop de radicaux libres, nuisibles aux structures de l'organisme, seront libérés. Si par contre l'on est en manque d'oxygène, les mitochondries, organites cellulaires qui fournissent l'énergie, ne seront plus en mesure d'effectuer leur travail et fabriqueront des radicaux libres en plus grande quantité, entraînant de surcroît une dégradation des systèmes anti radicalaires. Il s'agit là d'un double stress pour la cellule.

Le Bol d'air, un biocatalyseur
C'est là que les terpènes issus de la respiration avec le Bol d'air viendront s'associer avec l'hémoglobine pour devenir, ensemble, un biocatalyseur.
Cette biocatalyse est double :
- Premièrement, l'hémoglobine fixe les pinènes oxygénés issus des terpènes de l'orésine bien mieux que l'oxygène seul.
- Deuxièmement, sous sa « forme naissante », autrement dit une forme hautement assimilable par les cellules, l'oxygène sera mieux libéré dans les tissus en hypoxie.
Par conséquent, un nouvel oxygène peut être à nouveau capturé par l'organisme et redonné aux cellules en hypoxie. Un cycle respiratoire de plusieurs heures est alors engendré.
Cette respiration viendra alors s'adapter à votre demande, celle de votre corps et de ses besoins. Un rééquilibrage se fera en quelques respirations et suivant vos besoins, sans jamais
d'excès.
Trois minutes de respiration avec le Bol d'air permettent de se rendre compte de ses propres besoins dans cet instant. Si vous êtes fatigué, une énergie va revenir en quelques minutes. Si vous êtes énervé (colère, stress), vous allez bâiller et en peu de temps vous sentir libéré d'un poids. Parfois, lors d'une inflammation aiguë sur une articulation, un tendon, des ligaments ou un muscle, vous sentirez une diminution, voire un arrêt de la douleur qui se sera libérée.

Qui peut l'utiliser ?
Tout le monde, du bébé aux personnes très âgées. Cependant, les femmes enceintes ne l'ayant pas pratiqué avant leur grossesse s'abstiendront, ainsi que les personnes asthmatiques lors de crises aiguës et les personnes traitées par radiothérapie les jours qui suivront le traitement.
Mais ensuite, dans tous les cas de figure, un praticien de santé formé est capable de vous accompagner et vous recommander un protocole de respiration à suivre. Les animaux peuvent aussi respirer, tout comme les très jeunes enfants, qui savent grâce à leur instinct combien de temps d'inhalation ils ont besoin.
Les sportifs savent qu'il leur faut de l'énergie pour pratiquer leur sport et surtout pouvoir la stocker. Il leur faut donc un apport régulier d'oxygène au niveau cellulaire. Si les cellules viennent à manquer d'oxygène pendant l'effort, il y aura production de lactates (un acidifiant), provoquant contractures musculaires et fatigue. De plus, lors de la récupération, une dette d'oxygénation se produira et des blessures pourront apparaître, de la microlésion aux claquages, voire des fractures, mais aussi des troubles digestifs...
Le Bol d'air peut s'associer à toute autre thérapie. Il sera même incontournable pour optimiser ses séances de relaxation, ostéopathie, massage, préparation à des opérations, anesthésies, mais aussi pour la préparation des sportifs et leur récupération.
Il appartient à chacun de le tester, à domicile (en location), lors d'un salon, chez des thérapeutes ou dans des centres de Bol d'air.
L'organisme sait stocker les aliments que nous lui apportons tous les jours, mais ne sait pas faire de réserves d'oxygène. Chacun d'entre nous peut en avoir un jour besoin en traitement, mais aussi et surtout en prévention. S'il est reconnu par de nombreux professionnels, c'est souvent encore plus le cas à l'extérieur de l'Hexagone.

1. Béatrice Mercier, Bol d'air Jacquier : évaluation des effets biologiques et antiradicalaires de terpènes peroxydés, Thèse de doctorat en Sciences de la vie - Biochimie de l'oxygénation cellulaire, université de Dijon, 2008